
Le 30 km/h est menacé
Avec notre pétition, nous nous engageons pour que la vitesse de 30 km/h en localité ne soit pas rendue impossible par le Conseil fédéral.
La limitation de vitesse à 30 km/h fonctionne : elle permet d'améliorer la sécurité, la qualité de vie et de réduire le bruit. Vous trouverez ici le texte de la pétition.
Aidez-nous en signant notre pétition.
-
Erika M.à l`instant
-
Constantin Barbara C.à l`instant
-
Josée M.à l`instant

NON à l’interdiction du 30 km/h dans les localités
Le Conseil fédéral va bientôt proposer une modification de loi qui pourrait rendre l’introduction du 30 km/h quasiment impossible sur les routes principales. Cela aura de graves conséquences pour la sécurité et la qualité de vie de la population. Pour l’ATE, un tel retour en arrière est inacceptable.
Nous nous y opposons vivement!
- Beaucoup de personnes vivent le long des routes principales et souffrent du bruit routier. Ce sont aussi sur les routes principales qu’ont lieu de nombreux accidents graves, notamment pour les piéton·nes et les cyclistes.
- Actuellement, les communes et les cantons peuvent y abaisser la vitesse à 30 km/h pour améliorer la sécurité, la protection contre le bruit routier et la fluidité du trafic. Pour ce faire, une expertise doit être réalisée afin de démontrer la nécessité et la proportionnalité de l’introduction du 30 km/h.
- Cette procédure éprouvée est en danger! Le Conseil fédéral va proposer cette année une modification de loi qui pourrait rendre l’introduction du 30 km/h quasiment impossible sur les routes principales.
Avec cette pétition nous exigeons du Conseil fédéral et du Parlement de ne pas remettre en question la possibilité d’introduire le 30 km/h sur les routes principales. Une telle décision affecterait gravement la qualité de vie, la protection contre le bruit routier et la sécurité des populations concernées. Les pratiques actuelles, qui ont fait leurs preuves, ont été soutenues par les spécialistes en mobilité et par le Tribunal fédéral. Ce sont les communes et les cantons qui sont les mieux placés pour décider de la vitesse maximale la plus appropriée sur leur territoire, et non la Confédération.